Sa vraie supériorité est dans la satire littéraire ; dans la satire morale, il est déclamateur : c’est Juvénal et Horace qui lui fournissent son indignation. […] La langue a suivi, comme toujours, les destinées du génie littéraire. […] Le génie littéraire n’a-t-il pas suivi les mêmes phases sous le règne de Louis XIV ? […] C’est que l’influence littéraire du grand roi a été ou nulle ou fatale. […] C’est, de toutes ses influences littéraires, la seule qu’il ne soit pas permis de contester.