Le lieutenant civil Dreux d’Aubray ordonna sa mise en liberté à sa caution juratoire pour six mois ; mais d’autres créanciers intervinrent. […] Le 13 août celui-ci est en liberté et s’oblige, avec ses compagnons, à acquitter, garantir et indemniser le maître paveur. […] Il souffrit de ces rebuts, il en conçut plus de dépit et de ressentiment qu’il n’en avait éprouvé jusque-là dans les liaisons changeantes que ne pouvait manquer de nouer la liberté de la vie comique. […] Je sais bien que nos ans ne se rapportent guère, Et je laisse à son choix liberté tout entière. […] Rien ne donne à supposer, en vérité, que ce comte de Modène fût si délicat ; on ne voit point que sa jalousie ait jamais gêné la liberté de Madeleine.