Pour l’histoire du Tartuffe, voir : La Préface et les Placets de Molière ; Lettre sur la Comédie de l’Imposteur, publiée en 1667, et certainement inspirée, sinon écrite par Molière ; Arrêt du Parlement de Paris du 6 août 1667 ; Ordonnance de Mgr Harlay de Champvallon, archevêque de Paris, du 11 août 1667 ; Le Roi glorieux au monde, par le curé de Saint-Barlhélemy (Roullès), 1665 ; Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre, par le sieur de Rochemont, 1665 ; Réponse aux observations, etc., 1665 ; Lettre sur les observations, etc., 1665 ; La Critique du Tartuffe, comédie en vers en un acte, 1670 ;’ Bourdaloue, Sermon pour le septième dimanche après la Pentecôte, sur l’Hypocrisie, première partie ; Laharpe, Cours de Littérature, part. […] III : à l’occasion de cette scène, on doit remarquer avec quelle légèreté parle Fénelon (Lettre à l’Académie française, VII). […] Voir Loret, Lettre du 6 février 1655. — À toutes ces excellentes scènes, il faut joindre les scènes III-X de la Pastorale comique, dont il ne nous reste que quelques paroles chantées, mais qui étaient certainement une satire fort risible du duel.