On méprise les Gens de Lettres qui se déchirent mutuellement par des satyres ; on applaudit à ceux qui, plus dignes de ce nom, ne sont occupés que du progrès de l’art, qui aiment jusqu’à leurs rivaux, & qui les encouragent.
On méprise les Gens de Lettres qui se déchirent mutuellement par des satyres ; on applaudit à ceux qui, plus dignes de ce nom, ne sont occupés que du progrès de l’art, qui aiment jusqu’à leurs rivaux, & qui les encouragent.