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19. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412

Elle vivait fort mal avec madame de Montespan, qui, par les lettres qu’elle écrivait au roi, réussissait toujours à regagner, non son cœur, mais sa faveur. […] C’est ce que nous apprend madame de Sévigné dans une lettre du 15 octobre. […] Mais tout est si peu stable, qu’avant que vous ayez cette lettre, il y aura eu des nuages et des rayons de soleil. » Madame de Sévigné voyait de loin, voyait juste, et du premier coup d’œil. […] Plus de lettres à madame de Saint-Géran, sa confidente et son amie. Plus de lettres à Gobelin, son directeur ; du moins on n’en trouve plus aucune dans les recueils de sa correspondance125.

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