Chapelle*, aux études de qui l’on avait associé Bernier*, avait pour Précepteur le célèbre Gassendi*, qui voulut bien admettre Poquelin à ses leçons, comme dans la suite il y admit Cyrano*. […] C’est dans ses leçons, qu’il puisa les principes de justesse, qui lui ont servi de guide dans la plupart de ses ouvrages. […] La Nature lui a donné de meilleures leçons que les miennes pour ce rôle ». […] C’est dans ses leçons, qu’il puisa les principes de justesse, qui lui ont servi de guide dans la plupart de ses ouvrages. […] Ce brillant mais pauvre aristocrate périgourdin, présenté à la cour à quatorze ans, reçoit des leçons de Racine et fait jouer sa première tragédie à la Comédie-Française en 1694.