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145. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Pour moi, ajoute-t-il, j’ai pratiqué toujours cette leçon dans ma petite philosophie ; et je ne suis jamais revenu au logis que je ne me sois tenu prêt à la colère de mes maîtres, aux réprimandes, aux injures, aux coups de pied au cul, aux bastonnades, aux étrivières ; et ce qui a manqué de m’arriver, j’en ai rendu grâce à mon bon destin23. » Qu’y a-t-il de plus vif et de plus piquant ?

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