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135. (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314

Elle ne profitait point de ses leçons, qui lui paraissaient trop sévères pour une jeune personne, qui d’ailleurs n’avait rien à se reprocher. […] Mais ce n’est pas le seul endroit par lequel il nous a fait voir qu’il a su profiter des leçons d’un si grand Maître. […] Le Philosophe touché de cette leçon, qui était en sa place, se mit sur les sentiments ; Molière n’en fut pas fâché : Car plus homme de Cour que Bernier, et plus occupé de ses affaires que de celles du grand Mogol, la relation ne lui faisait pas beaucoup de plaisir.

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