de la Fare, & mille anonymes, en ont enrichi notre langue. […] Elle m’a paru très propre à faire connoître les beautés d’une ode latine à ceux de mes Lecteurs qui n’entendent pas la langue d’Horace.
de la Fare, & mille anonymes, en ont enrichi notre langue. […] Elle m’a paru très propre à faire connoître les beautés d’une ode latine à ceux de mes Lecteurs qui n’entendent pas la langue d’Horace.