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67. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Il en a conservé le beau langage, le bon goût, l’atticisme. […] Voilà comment on garde à chacun ses mœurs, son langage, ses vices, et comment la variété peut pénétrer dans les œuvres humaines. […] En effet, la comédie de Térence enseignait à ces grands seigneurs, plus puissants que des rois, l’urbanité et le beau langage. […] Ce sont les mêmes mœurs, c’est le même langage, et ce sont les mêmes détails. […] Caton le censeur, et même le Misanthrope de Molière, ne parlaient pas, de leur vivant, un langage plus élevé, plus grave, plus austère, même dans sa joie, et plus digne de la comédie sérieuse.

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