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188. (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76

Je n’eus que trop de moyens de me convaincre de mon erreur; et la folle passion qu’elle eût quelque tems après pour le comte de Guiche, fit trop de bruit pour me laisser dans cette tranquillité apparente. […] Sa présence me fit oublier toutes mes résolutions; et les premières paroles qu’elle me dit pour sa défense me laissèrent si convaincu que mes soupçons étaient mal fondés, que je lui demandai pardon d’avoir été si crédule.

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