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18. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Mais laissons cela. […] Pouvait-il affronter un loisir qui le laisserait seul en présence de lui-même ? […] Là-dessus, l’expérience ne laisse rien à dire à la raison. […] mais Bourdaloue ne laisse nulle issue, il ne veut pas qu’on échappe. […] Quand donc vous le laissez en paix, vous lui accordez tout ce qu’il prétend.

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