L’Auteur n’avoit aucune raison pour laisser Amphitrion à la porte, puisque Mercure ne la gardoit point dans ce moment : il avoit suivi Jupiter. […] Laissons aux deux Amphitrions Faire éclater des jalousies ; Et, parmi leurs contentions, Faisons, en bonne paix, vivre les deux Sosies. […] Une fois sortis de la ville qui a vu naître leurs talents, qui les a même cultivés, ils pensent n’avoir rien laissé après eux qui soit digne d’être peint aux yeux du peuple brillant qu’ils veulent amuser.