/ 275
148. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419

Il fait ensuite paroître une Languedocienne avec une Picarde, qui accusent Pourceaugnac de les avoit épousées, appellent une douzaine d’enfants, se disputent la gloire de le faire pendre, & l’alarment au point qu’il se déguise en femme, prend la fuite, & laisse Eraste possesseur de Julie. […] La fausse reconnoissance est beaucoup mieux filée dans la comédie que dans le roman ; mais si Mendoce mourant de faim se laisse trop facilement persuader par l’offre qu’Ordogno lui fait de le régaler, il est encore moins naturel que Pourceaugnac accepte un logement chez Eraste.

/ 275