Eraste dit à M. de Pourceaugnac qu’il est obligé de le quitter, qu’il le laisse entre les mains d’un homme qui le traitera du mieux qu’il lui sera possible. […] Eraste sort, & le laisse entre les mains de deux Médecins. […] Sbrigani le laisse avec Oronte qui paroît. […] Sbrigani exhorte Pourceaugnac à ne pas se laisser pendre, parcequ’on lui contesteroit ensuite la qualité d’Ecuyer. Il craint qu’on ne le reconnoisse, sort pour aller lui chercher une grande coëffe, & le laisse à la merci de deux Suisses.