Son travail lui laisse-t-il assez de loisir pour lire de pareils livres ? […] Chaque femme n’a-t-elle pas sujet de crier lorsqu’elle a un mari qui perd son temps, qui néglige sa maison, & qui laisse souffrir sa femme & ses enfants ? […] Il puisera dans le grand monde un goût fin, beaucoup de délicatesse, une façon aisée d’exprimer ses idées ; mais comme tous ceux qui le composent ont à-peu-près reçu la même éducation, que cette éducation leur apprend à paroître tout ce qu’ils ne sont pas, ils ne lui laisseront entrevoir que des nuances.