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127. (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221

Il est fâcheux que cet ouvrage, l’un des mieux conduits et des plus purement versifiés de Destouches, laisse une si grande incertitude sur le but qu’il s’était proposé d’atteindre en le composant. […] répond Harpagon ; il valait bien mieux pour moi qu’il te laissât noyer que de faire ce qu’il a fait. » Voilà les sentiments paternels d’un avare. […] Doué d’une imagination vive et romanesque, il s’est laissé entraîner par elle au lieu de la retenir et de la régler. […] Néanmoins, bien qu’elles le remplissent d’une joie indicible, Tartuffe ne s’en laisse pas éblouir. […]Laissez-le en paix.

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