Et ajoutez enfin qu’y ayant deux autres comédies de Molière : Georges Dandin et la Comtesse d’Escarbagnas dont la scène est en province, ni dans l’une ni dans l’autre les noms ne sont ainsi spécifiés, comme ils le sont dans M. de Pourceaugnac. […] L’une des premières leçons que donnaient encore, il y a quelque trente ans, les rhétoriques, c’est qu’il ne faut pas écrire comme l’on parle.