est encore un de ces ouvrages précipités, que l’on ne doit point juger avec rigueur. […] Louis XIV en jugea mieux, & rassûra l’auteur alarmé du peu de succès de la premiére représentation. […] Comme ses ouvrages ne sont pas tous du même genre, il ne faut pas, pour en juger sainement, partir des mêmes principes. […] Ce sont apparemment ces espéces de farces, qu’il lisoit à sa servante, pour juger, par l’impression qu’elle en recevoit, de l’effet que la représentation produiroit sur le théatre. […] Je le connois, dit Moliere, il a été mon camarade en Languedoc, c’est un honnête homme ; que jugez-vous qu’il faille lui donner ?