Ou bien devons-nous nous en rapporter au grand juge littéraire du xviie siècle, à ce pauvre Boileau, qui admirait et recommandait la comédie de Molière pour sa « naïveté » ?
Ou bien devons-nous nous en rapporter au grand juge littéraire du xviie siècle, à ce pauvre Boileau, qui admirait et recommandait la comédie de Molière pour sa « naïveté » ?