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120. (1819) Deux pièces inédites de J.-B. P. Molière [La Jalousie du Barbouillé, Le Médecin volant] pp. 1-4

Il pense que ces farces se jouaient à l’improvisade, comme celles des Italiens, et que quelque comédien de campagne en a rempli les canevas à sa manière. […] Ces farces, qui se jouaient à la suite des grandes pièces, avoient principalement pour but d’allonger convenablement la durée du spectacle, et elles ont donné naissance à nos petites comédies en un, deux ou trois actes.

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