Je ne m’amuserai pas à prouver la différence qu’il y a entre le rire de joie, le rire moqueur, le rire forcé, le rire bas, le rire de l’ame, &c. […] Sans cette précaution encore, ririons-nous de voir le pauvre Pourceaugnac en proie à un déluge de lavements, de filles de joie, qui se disent ses femmes, de petits fils de pu...... qui l’appellent papa, & contraint enfin à prendre la fuite sous un habit de femme, crainte d’être pendu ? […] & puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, & je n’ai plus que faire au monde.