disait un poète en se contemplant lui-même, qu’ai-je fait, malheureux, des vices éclatants de ma jeunesse ? […] Elle, comme une femme d’esprit, s’en est consolée bien vite en redoublant de jeunesse et de bonne grâce. […] Vous régnez du droit despotique de votre jeunesse et vous voilà, de prime abord, au niveau de toutes les adorations humaines, au-dessus de tous les blâmes ! […] Elle a été patiente outre mesure ; elle a attendu longtemps sa beauté, son esprit, sa jeunesse, sa grâce, son charme enfin. […] Mademoiselle Mars n’a pas vu son héritière en jeunesse, en beauté, en charme, cette admirablement belle Madeleine Brohan !