Cette dernière lui était alors inutile, par sa trop grande jeunesse, mais ses deux garçons furent en état de seconder ses intentions. […] « [*]Il est facile de connaître que le sieur de Rochemont, en donnant ses observations sur Le Festin de Pierre, en a moins voulu faire la critique, dans laquelle cependant il traite Molière de corrupteur de la jeunesse et d’athée, qu’il n’a eu dessein de se joindre à la cabale qui commençait à se former contre la comédie du Tartuffe, dont les trois premiers actes avaient été représentés trois fois dans l’année 1664*.