« Ici sont les reliques des poésies de mes plus jeunes ans ! […] Allez voir la jeune Agnès ! […] Cependant, sous les fenêtres de la jeune Grecque se promènent le jeune Adraste et son esclave Ali, comme se promènent sous les fenêtres de Rosine le comte Almaviva et son ancien valet le barbier Figaro. […] Parlez-moi du jeune Adraste, parlez-moi d’Ali son humble esclave ! […] Alceste l’honnête homme, perdu au milieu de ces jeunes fats, aux pieds de cette coquette, se sera trompé de porte.