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188. (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722

En plus de l’anecdote du gentilhomme campagnard, qui aurait servi à Molière pour dessiner son Pourceaugnac, on raconte aussi l’histoire d’un apothicaire qui, appelé par de jeunes gentilshommes, en toute hâte, pour donner & un malade un lavement bien chaud, se vit saisir par les jeunes fous; on lui administra de force le lavement bouillant qu’il apportait, et on le força de boire et de danser, si bien qu’on craignit qu’il es « crevât. » La comédie inspira peut-être cette mauvaise plaisanterie au lieu de l’avoir copiée.

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