En plus de l’anecdote du gentilhomme campagnard, qui aurait servi à Molière pour dessiner son Pourceaugnac, on raconte aussi l’histoire d’un apothicaire qui, appelé par de jeunes gentilshommes, en toute hâte, pour donner & un malade un lavement bien chaud, se vit saisir par les jeunes fous; on lui administra de force le lavement bouillant qu’il apportait, et on le força de boire et de danser, si bien qu’on craignit qu’il es « crevât. » La comédie inspira peut-être cette mauvaise plaisanterie au lieu de l’avoir copiée.