Je me moque de cela et ne veux point mourir si jeune. […] Nous comprenons maintenant pourquoi la pupille de Sganarelle, la jeune Isabelle de L’École des maris, viendra se jeter d’elle-même, pour ainsi dire, dans les bras de Valère. […] Que tous ces jeunes fous me paraissent fâcheux ! […] Gorgibus menace sa fille et sa nièce : « Ou vous serez mariées toutes deux avant qu’il soit peu, ou, ma foi, vous serez religieuses ; j’en fais un bon serment. » Toutes les jeunes filles que l’on prétend contraindre à renoncer à leur amour : la fille d’Harpagon, celle de Philaminte, celle de Monsieur Jourdain, ne manquent pas de s’écrier comme la jeune veuve : « Un cloître est l’époux qu’il me faut. » La pensée est la même, si les expressions ne sont point semblables.