Le bon prélat donna audience aux comédiens, discuta leurs raisons, et, finalement, les autorisa à continuer leurs jeux dans son diocèse, à la condition de déposer entre ses mains le canevas des pièces qu’ils voudraient représenter. […] Les jeux de physionomie, les postures, les gestes tenaient une grande place dans leur talent. […] Voilà le jeu de théâtre qu’on appellelazzi.