Là se trouvent aussi, comme deux esquisses légères, que Molière semble n’y avoir jetées que pour les transporter plus tard dans une composition plus vaste et plus régulière, et cette Élise qui, franche et naturelle comme la fille cadette de Chrysale, se moque si bien de la prude Climène, dont le scrupule veut voir des impuretés dans d’innocentes syllabes, et ce Dorante qui, dans les mêmes termes que l’amant d’Henriette, venge si bien la cour des mépris de M.