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150. (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571

Une espièglerie de son fils fait passer de son doigt à celui de Mariane un diamant d’un grand prix : le voilà au supplice, et à rien ne tient qu’il ne se jette sur la main qu’embellit cette bague, pour l’en arracher. […] Molière, jeté deux fois hors des voies de la bonne comédie, et transporté, comme de force, dans le domaine de la galanterie romanesque, essaya de parler la langue du pays, et eut le triste avantage d’y réussir.

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