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183. (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221

C’est que Molière alors, s’ignorant encore lui-même, tâtonnant et cherchant sa route, n’avait précisément donné jusque-là que des comédies romanesques imitées des imbroglios italiens et espagnols, et qu’il montrait pour la première fois aux spectateurs ravis l’imitation d’un travers à la mode, une comédie vraie, où tous les personnages étaient des portraits d’autant plus piquants pour eux, qu’ayant sous les yeux les originaux, ils pouvaient, par la comparaison, en apprécier la parfaite ressemblance.

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