En résumé, ces hautes intelligences qui, seules dépositaires et seules législatrices du bon goût, faisaient la loi à toute l’Europe, n’entendaient rien, ni à la littérature grecque360, ni à la littérature anglaise361, ni à la littérature espagnole ; elles ne comprenaient qu’une partie de la littérature latine et même de la littérature française362 ; un petit nombre appréciait assez passablement la littérature italienne, moins Dante.