C’est la piece italienne que nous opposerons à celle de Moliere. […] L’exposition italienne est simple ; la françoise est un roman qui ne finit point, & dans lequel on se perd. […] Comme après avoir lu ta piece, la lettre italienne doit nous paroître gauchement amenée ! […] Je crois cependant que la scene italienne est beaucoup plus vigoureuse, & qu’elle paroît aussi vive que la françoise, quoiqu’infiniment plus longue. […] Enfin, la piece italienne me paroît au-dessus de la françoise.