Est-il moral de faire reposer toute une intrigue touchante sur l’adresse de telles gens, à qui l’on s’intéresse nécessairement, parce qu’on s’intéresse au succès de ce qu’ils entreprennent ? […] Tant d’honneur fait qu’on a de la tolérance pour leurs basses intrigues, et qu’on ne voit pas qu’ils s’y déshonorent.