/ 192
190. (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405

Enfin, sans Le Menteur, j’aurais sans doute fait quelques pièces d’intrigue, L’Étourdi, le Dépit amoureux, mais peut-être n’aurais-je pas fait Le Misanthrope. […] Il commence par une comédie d’intrigue à la mode italienne. […] Ce caractère brutal, hargneux, égoïste et systématique, bizarre, vaniteux et entêté, mis en opposition avec d’autres caractères, produit des luttes et des complications naturelles, qui deviennent le principal intérêt de la comédie, où l’intrigue perd beaucoup de l’importance qu’elle avait eue jusque-là. 

/ 192