Une intrigue, trop souvent faible, mais prise dans des mœurs véritables, attaqua, non les torts passagers du citoyen, mais les ridicules plus durables de l’homme. […] La Comédie, au moins celle d’intrigue, existait dans Bocace, et Molière en donna la preuve aux Italiens. […] il faut parvenir jusqu’à elles, et voilà le Comique d’intrigue. […] Ce genre de Comique où l’on admet des intrigues de valets, des personnages d’un ridicule outré, lui donnait des ressources dont l’Auteur du Misanthrope avait dû se priver. […] S’il a mis sur la Scène des intrigues avec de jeunes personnes, c’est qu’alors on s’adressait à elles plutôt qu’à leurs mères, qui avaient rarement la prétention d’être les sœurs aînées de leurs filles.