À travers les intrigues de ses comédies., Molière a peint l’amour naturel 432, instinct des cœurs honnêtes : c’est un service qu’il a rendu à ses semblables. […] Tout cela surnage au-dessus de toutes les intrigues et de toutes les faiblesses ; tout cela est exprimé ou indiqué avec une mesure et une justesse qui donnent à l’ensemble de ces peintures d’amour un caractère général de moralité, et qui placent le théâtre de Molière à une distance infinie au-dessus de l’immense majorité des drames et des romans d’amour464.