Jules Rolland, vient de découvrir dans les archives communales d’Albi, sa ville natale, trois documents du plus haut intérêt, qu’il a malheureusement enfouis dans un gros in-octavo de 427 pages, tiré à 300 exemplaires seulement : L’Instruction en Province avant 1789 : histoire littéraire de la ville d’Albi 3, dont le chapitre intitulé : « Molière est-il venu à Albi ? […] Vous n’hésitez pas à ratifier mes conclusions en ce qui touche la présence de Molière dans cette troupe du duc d’Épernon où figurent du Fresne, du Parc et Rebeilhon ; bien, mieux, vous allez jusqu’à m’accuser de scepticisme parce que j’ai intitulé mon travail : Molière est-il venu à Albi ? […] Il pensait que ces sculptures remontaient à l’an 1200, et qu’elles avaient fourni à La Motte le sujet de sa fable intitulée Le Pouvoir électif. […] René Delorme en a donné la description complète dans son excellent travail intitulé Le Musée de la Comédie-Française, p. 57 à 63 et p. 185. […] Il y a une dizaine d’années qu’on a monté sur les scènes allemandes une comédie intitulée Molière, d’après le français de Desnoyer et Labat, et encore aujourd’hui une autre comédie, Le Modèle de Tartuffe de Charles Gutzkow (récemment mort à Sachsenhausen, petit bourg près de Francfort), paraît sur les affiches de nos théâtres.