Enfin le dénouement est heureux ; il l’a tiré d’une fable de La Fontaine, intitulée le Berger et le Roi, et l’usage qu’il en a fait est intéressant et théâtral. […] Il s’amusa depuis à embellir toute cette aventure d’un vernis romanesque, et il en composa une nouvelle intitulée la Provençale.