Il disait cela, songeant à lui-même, et le roi, le lendemain, sans pitié pour sa fatigue, lui commandait un divertissement intitulé Les Amants magnifiques. […] Alors le roi commanda à Molière un divertissement intitulé La Comtesse d’Escarbagnas.
Il disait cela, songeant à lui-même, et le roi, le lendemain, sans pitié pour sa fatigue, lui commandait un divertissement intitulé Les Amants magnifiques. […] Alors le roi commanda à Molière un divertissement intitulé La Comtesse d’Escarbagnas.