/ 154
132. (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436

Comme il est douteux que Molière employât son temps à lire les relations de Grotius, les annales d’Olearius, ou le Mensa philosophica, de l’Irlandais Thibault Anguilbert, et que, d’un autre côté, il est certain qu’il trouvait plaisir et profit à la lecture des récits de nos vieux conteurs, c’est vraisemblablement dans le fabliau intitulé Le Médecin de Bray, autrement, Le Vilain Mire (le Paysan médecin), qu’il a pris l’idée de sa farce du Médecin par force, devenu Le Médecin malgré lui.

/ 154