Non pas du tout le mari de Molière et de Gavarni, vous savez; le mari qui faisait toujours rire, non, l’autre mari, le nôtre, celui qui s’est marié dans l’intérêt du divorce, le mari de la Thèse, enfin, un charmant garçon et si bien élevé!... […] Vous allez entendre ce singulier chef-d’œuvre marqué au coin d’une simplicité si excessive vous allez entrer, dans cette intrigue qui vit toute seule, dans cette action où certes l’intérêt ne languit jamais, mais où vous chercheriez en vain l’ombre de ce qu’on appelle une péripétie.