Je vous arrête là : vous avez vingt-six ans ; C’est l’été de vos jours, par conséquent le temps D’inspirer, d’éprouver une flamme constante : Car l’âge de penser d’une façon prudente, De sentir fortement est aussi la saison. […] Je suis en humeur aujourd’hui de me réjouir ; & l’heureux accommodement que je viens de terminer, nous doit inspirer à tous de la gaieté.