Montrer aux hommes la hideur du vice, c’est bien agir ; leur inspirer l’horreur du vice, c’est être utile : il n’y a pas de considération qui emporte celle-là. […] Quoi qu’en dise A. de Musset (Namouna, chant II, st. 23), le don Juan épique est la création de Molière : à Molière l’honneur d’avoir inspiré Mozart et Byron. […] Pour l’histoire du Tartuffe, voir : La Préface et les Placets de Molière ; Lettre sur la Comédie de l’Imposteur, publiée en 1667, et certainement inspirée, sinon écrite par Molière ; Arrêt du Parlement de Paris du 6 août 1667 ; Ordonnance de Mgr Harlay de Champvallon, archevêque de Paris, du 11 août 1667 ; Le Roi glorieux au monde, par le curé de Saint-Barlhélemy (Roullès), 1665 ; Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre, par le sieur de Rochemont, 1665 ; Réponse aux observations, etc., 1665 ; Lettre sur les observations, etc., 1665 ; La Critique du Tartuffe, comédie en vers en un acte, 1670 ;’ Bourdaloue, Sermon pour le septième dimanche après la Pentecôte, sur l’Hypocrisie, première partie ; Laharpe, Cours de Littérature, part.