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13. (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-

La racine du mépris que nous inspire la coquette est plus profonde que nous ne le croyons. […] La femme sans cœur est un monstre qui a perdu sa nature et sa forme par quelque corruption : le secret du mépris qu’elle nous inspire est dans la dégradation que nous sentons derrière sa dureté. […] Il nous élève au-dessus de notre forme réelle, il nous admet à la contemplation de notre forme idéale, il nous inspire le respect de notre âme, le désir, l’espoir de réaliser les splendeurs entrevues.

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