Qu’ils inspirent de transports À mon lan la landeridette, À mon lan la landerida ! […] Il ne pouvait entendre qu’elle fût la Muse qui l’inspirât. […] Voici d’autres vers inspirés à un de ses adorateurs : Vos vertus et vos beautés Mériteraient des couronnes. […] Je crois bien plutôt que ce sonnet, qui date d’un temps où Molière avait plus de loisir pour aimer et pour rimer, fut inspiré par Madeleine Béjart — ou par la Du Parc — cette Célimène avant la lettre, c’est-à-dire avant la femme de Molière.