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66. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Là est cette scène si piquante, où, sans indiquer clairement Sganarelle ni Valère, Isabelle supplie celui qu’elle aime de la soustraire à celui qu’elle n’aime pas. […] Il réduit ce qu’ils ont trop développé, il développe ce qu’ils n’ont fait qu’indiquer. […] J’ai indiqué, pour Molière en particulier, les causes de cette éternelle jeunesse de la comédie.

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