Là est cette scène si piquante, où, sans indiquer clairement Sganarelle ni Valère, Isabelle supplie celui qu’elle aime de la soustraire à celui qu’elle n’aime pas. […] Il réduit ce qu’ils ont trop développé, il développe ce qu’ils n’ont fait qu’indiquer. […] J’ai indiqué, pour Molière en particulier, les causes de cette éternelle jeunesse de la comédie.