/ 164
143.

Jules Couet : Scarron imité par Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 5, 1er août 1879, p. 148-149. […] Quand on parvient, dans l’observation, à ce degré de profondeur qui fait les Shakespeare et les Molière, quand on lit aussi couramment dans le grand livre de l’humanité, comment veut-on qu’ayant à peindre des caractères identiques dans leurs grandes lignes, dans leurs traits les plus saisissants, on n’arrive pas, un jour ou l’autre, à s’imiter sans se connaître ? […] S’il le connaissait, a-t-il songé à imiter la scène de la nourrice de Juliette ?

/ 164