La pédanterie de Bélise est exaltée et presque visionnaire ; c’est celle d’une vieille fille qui, n’ayant sans doute pas trouvé à se marier, s’imagine qu’elle n’a voulu accepter la main d’aucun homme, et croit qu’ils sont tous amoureux d’elle, même quand ils lui jurent le contraire. […] Généralement les personnes en qui cette affection subsiste imaginent que leur vie est menacée par quelque mal : affranchies de la peur de celui-ci, elles tombent dans la crainte de celui-là.