/ 137
92. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Plus tard, il s’en souvint à point, quand il composa le second acte de son Malade imaginaire. […] En riant du mal imaginaire, il croyait se faire illusion sur la maladie véritable. […] Je croirais même qu’il y donna une ébauche de son Malade imaginaire, car un des types en vint, tout baptisé : c’est celui de l’Apothicaire. […] Il le reprit plus tard, pour le Malade imaginaire, qui l a fait immortel. […] On n’a bien connu l’identité du personnage et sa très proche parenté avec l’apothicaire du Malade imaginaire, que par cette petite taquinerie d’exactitude.

/ 137